Alec B. Cole . « Que la partie commence. »

Alec B. Cole . « Que la partie commence. » 29339864

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Nom

Cole

Prénom

Alec Banjamin

Âge

118 ans mais seulement 21 en apparence.

Monde

La Terre.

Lieu de naissance et Nationalité

Tvedestrand, Norvégien.

ЖЖ – L’Être

Race

Vampire

Sexualité

Hétérosexuel

Comment sont arrivés tes « pouvoirs »

Imaginez, un jeune homme, d’un peu plus d’une vingtaine d’année, dans les rues Norvégiennes. Il est tard. Très tard. Trop tôt. Derrière le jeune homme, marche silencieusement un vampire. Le vampire. Le prédateur défit la proie. Sans prévenir, sans même une parole, le monstre attaque, brutalement. Pire. Sauvagement. L’Ultime cri, du moins c’est ce que pensait Alec, attire cependant l’attention d’autrui. Le vampire prend la fuite. Inutile de se faire remarquer. Mr. Cole est pratiquement vidé de son sang, c’était le but de caïnite alors assoiffé. La perte de sang est importante. Peut être même trop. La victime sombre dans la léthargie attendue. Animé de regret, ou tout simplement mauvais, que sais-je, le prédateur revint sur ses pas, quelques heures après l’attaque et mélangea son sang à celui de proie, donnant naissance à un nouveau vampire.

Développement de vos aptitudes

Adolescent, puis qu'il n'a que 118 ans. Disons que ses aptitudes et son goût du sang sont mieux maîtrisés que s'il était nouveau-né.

Réaction(s) face aux autres espèces

Nous dirons d’Alec qu’il est tolérant. Il n’oublie pas qu’il a été humain, un jour. Certes, ce fut il y a bien longtemps à présent, et ses souvenirs s’effritent peu à peu, mais il n’oublie pas ce qui était. Il n’oublie pas que son cœur a, un jour, battu, ni même que la respiration lui fut autrefois essentielle. Ce qu’il pense des humains ? Que se sont des êtres faibles, mais aux multiples autres qualités, qualités que devraient avoir certains caïnites par moment. Il n’a jamais était pour s’esclavage des hommes, et n’approuve pas vraiment le fait qu’il existe des races dites supérieures. Selon lui, tout le monde a une place sur cette Terre. Une place, et un rôle. Pour ce qui est des Lycanthropes, Alec n’éprouve que très peu de respect à leur égard, si ce n’est à trois d’entre deux, pour des raisons fondées. En général, il évite de parler d’eux, ou même d’avoir affaire à eux afin d’empêcher tout affronts verbales, et pourquoi pas physique.

ЖЖ Ж – Le Pupitre

Oublions la vie précédant l’immortalité, ce n’est qu’un passage, qu’un inutile passage. Laissons de côté le jour où le jeune Alec Benjamin Cole s’est fait vidé de son sang en quasi-totalité, puis s’est vue donné la mort, rapidement suivit de l’éternité. Que raconter de cela ? Il faisait nuit, c’était l’année insignifiante aux yeux de tous de 1891, et Alec a abandonné l’humanité. Ou du moins, il se l’est vu retirée. Dans ses rêves les plus fous, jamais il n’avait osé croire en l’existence de Vampires, Sorcières ou encore Lycanthropes. Imaginez sa surprise quand il a découvert qui il était devenu. Qui ou quoi ? Était-il seulement réaliste que de le qualifier d’homme ? C’est tout ce qu’il n’était plus, dès ce jour là. Son géniteur n’avait même pas daigné lui montrer son visage, et après la transformation, il s’était enfuie, lâchement… Oui, il lui en voulait. Il aurait voulu le connaître, comme Traeson connait Mathias. Au plus profond de son être, il se sentait orphelin. Il l’était. Lorsqu’il comprit ce qu’il était devenu, le désarroi l’emporta sur la raison, et le vampire qu’il était devenu erra telle une âme en peine dans les rues norvégienne. Il était inconcevable pour lui d’oublier la vie et le jour… Il ne pouvait pas se contenter de la nuit, comme l’animal nuisible, c’était inhumain. Mais il ne l’était pas, humain.

La der des ders…

Qui ne connait pas cette paraphrase désignant la première guerre mondiale qu’ait connue cette planète ? Tous y ont crus… Tout le monde se disait que ce serait la dernière. La dernière quoi ? La dernière pour qui ? Cette boucherie, car s’en était une, n’aurait jamais du avoir lieux… Tant de vies sacrifiées, pour qui ? Pour quoi ? Des innocents, c’est ce qu’ils étaient presque tous. Alec aurait tant aimé mourir à leur place, son nouveau corps l’insupportait… Engagé dans l’armé britannique, il avait finis sur le front, lors de la célèbre bataille de la Somme. Certes, bien moins connue que celle de la Marne, mais dont le bilan humain s’apparentait à la première. Les balles fusaient, que dis-je, elles tuaient. L’anonymat tuait l’anonyme. L’homme tuait l’humanité. Et qui tuait Alec Cole ? Personne. Pourtant, il n’attendait que ça. Il oubliait consciemment de se mettre à l’abri des balles, pourtant celles-ci ne semblaient pas lui faire plus mal qu’une piqûre d’insecte. Et c’en était d’autant plus douloureux. Les autres soldats lui criaient de se cacher, pour éviter les balles de plombs, mais obnubilé par la mort, la vraie, il n’entendait rien. Et pourtant… l’immortalité ne se contredit pas. Et elle eut à jamais le dernier mot. Le vampire vit ses camarades se faire tuer. Il ne les connaissait que depuis plusieurs mois, ou quelques semaines… peuvent être même quelques jours et pourtant, il ne pouvait s’empêcher de crier à l’injuste. La trêve des brancardiers n’était plus respectée, seule la nuit faisait cesser les coups. Les armées terrées dans leurs tranchées restaient silencieuses, Alec plus que personne. Le No Man’s land n’était plus qu’une étendue de terre battue, Alec se souvint y avoir vu une fleur pousser… Puis brûlée. Lorsque les soldats dormaient paisiblement, emportaient par un monde de songe, un monde de paix, un monde onirique, le vampire sortait de la planque et rejoignait les tranchées allemandes, tranchées ennemis afin de se nourrir du sang germanique. L’instinct de survie sans doute. Comment se laisser mourir de faim ? Le vampire en lui lui interdisait de se laisser affaiblir, et il obéissait. Parfois il lisait dans les pensées de ses camarades et amis… Tout n’était que désespoir. Le même désespoir qu’il ressentait depuis qu’il s’était vu ôter la vie. Chaque homme pensait à sa femme, à sa mère, à ses enfants… Alec ne connaîtrait jamais cela. Tous se croyaient perdus, et combien s’en sortirons ? Peu. Trop peu. La bataille de la Somme se termina, soldée par une tuerie sans précédent. Plus de morts que de survivants. Pire. Plus d’anglais que d’allemands. Alec, choqué, promis la vengeance de ses frères d’armes. Faute d’humanité, il vivait de fraternité. Mais connaissez-vous le pire de l’histoire ? C’est qu’il ne s’agissait pas du fin mot. Alec voyait les jours défiler et pourtant, il n’était qu’en 1916. Il ne savait pas que deux longues années restaient à être achevées… emportant âmes et vies avec elles. Il continuait cependant à se battre, pour la liberté, pour la paix, pour passer le temps. Il se sentait utile, il se sentait humain, à les côtoyer tous. La monotonie s’installa presque. Le jour, cachés dans les tranchées, à l’abri du jour, il tuait. Il ne savait pas qui, quelle importance ? Il tuait. La nuit, il tuait. Retirait la vie des allemands pour assurer sa survie. Il était devenu le tueur qu’il ne voulait pas être. Un certain 11 novembre arriva. Personne n’y croyait plus, personne n’y avait crus. L’armistice fut signé, Alec, dans l’ombre y assista, puis parti. Il avait compris. On ne renie pas sa nature, on l’accepte. Au cours des années, il avait appris la guerre, la civilité, la contrebande, le goût du sang, le prix d’une vie… Le monde avait évolué depuis sa mort. Les humains n’étaient plus ce qu’ils étaient. Alec n’était plus ce qu’il était. A la différence que lui n’était pas humain.

Retour aux sources.

J’ai volontairement oublié de mentionner une importante rencontre d’Alec, située entre sa renaissance et son engagement dans l’armée anglaise. Cette rencontre s’appelle Mathias Kroenig. Alec le rencontra alors qu’il errait dans les rues du pays, accablé, déçus, écœuré de la vie. Mathias lui apprit la vie, la mort, l’éternité. Alec le remercia. Au début. Il fut tellement soulagé de se sentir accompagné, moins seul. Reconnaissant, c’est ce qu’il était. Il resta un certain temps avec Mathias, jusqu'à apprendre ce qu’était le monde qui les entouraient, tous. Nouveau vampire qu’il était, peureux humain qu’il fut, il prit peur. Pire, il prit la fuite. Il ne se supportait pas lui-même, comment supporter les autres ? Conservateur, il voulut rester le plus proche possible des humains, malgré le danger qu’il représentait pour eux, et c’est ainsi qu’il s’enrôla dans l’armée britannique. Mais lorsque la guerre se termina, lorsqu’il n’y eut plus aucun allemand à punir, Alec dut se battre contre son « moi-intérieur ». Impossible de résister à l’appel du sang, il fallait se nourrir. C’est ainsi qu’il comprit qu’il ne pourrait s’empêcher de tuer des innocent pour survivre. Il finit par se faire une raison, et retrouva Mathias. Dès ce moment là, Alec verra en Mathias un chef, un supérieur, et même un confident. Il en deviendra même son bras droit. Respectueux. Actif. Stratège. Savoir. Voilà ce qui pourrait caractériser Alec Cole. Il a fait la connaissance de la délicieuse Traeson. Délicieuse ? Il n’en savait rien au début. Les deux vampires jouaient la carte de l’indifférence. Je dirais même que ce n’était pas qu’une façade, c’était tout simplement la réalité. Jusqu’au jour où la jeune femme lui sauva la vie. Le lycanthrope, Thomas Turner a manqué de le tuer, si la jolie vampire n’avaient pas été là, autant vous assurer que l’immortalité n’aurait plus était une des qualités de notre cher vampire. Le fait est que des liens se sont tissés entre eux et qu’Alec la considère à présent comme une amie… Peut être même plus. Mais comment savoir ? Lui qui n’est jamais tombé amoureux, comment savoir que ce qu’il éprouve pour la jolie Traeson est de l’amour ?

ЖЖЖЖ – L’Âme

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Tom Sturridge

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Blue.

Âge

16 ans.

Commentaires

Si je peux me permettre... Félicitation au créateur du design qui est tout simplement époustouflant.

Où avez-vous connu le forum ?

Par "La Malédiction de Faust"

Code

Alec B. Cole . « Que la partie commence. » 508440

Bienvenue, merci de t'être inscrit Alec B. Cole . « Que la partie commence. » 704530

!
Bon courage pour ta fiche, et oui... Emy a fait un design absolument superbe, ça c'est sûr Alec B. Cole . « Que la partie commence. » 508440

Merci =D
Oui, je crois que j'avais avoir besoin de courage pour la fiche, mais je suis motivée !
Et puis, je pense favoriser une fiche garnie, mais pas trop, afin de pouvoir RPiser au plus vite Smile

Et bien, encore Bravo à Emy, dans ce cas.

Désolée pour le double poste, mais je crois que j'ai finis Smile

Bonsoir !

valider

Amuse toi bien parmi nous ! J'espère que tu prendras autant ton pied que nous dans ce jeu ! N'oublie pas ta fiche de relations surtout ^^